Photos


Voici une petite sélection de photos du voyage

L'appareill photo : un petit compact tout bête (Canon PowerShot A610)


(Cliquez sur les photos pour agrandir)



La veille du départ, en région Parisienne.
Le vélo est chargé, prêt pour le départ.

Sous l'apparente instabilité du chargement se cache une technique tout à fait au point, qui a déjà fait ses preuves sur plusieurs centaines de kilomètres. Lancé à 50km/h sur les routes sinueuses de montagne, il faut avoir confiance en son matériel.


Après trois jours d'épreuve-test dans le pays basque espagnol, je découvre "l'intérieur" : l'immense plateau de la Meseta. Après 3 jours de batailles dans les dénivelés des Pyrénées, je renoue avec le "plat".


Balayés par les vents, assomés sous le soleil ; les petits villages de la Meseta se fondent dans le paysage doré.


Santa Maria Del Campo.
L'église émerge du village alors que le soleil s'apprête à disparaitre.



Nothing but the road.
Au nom de la route, des champs et du soleil ; pour des kilomètres et des kilomètres. Amen.


Paysage typique de Meseta : chaines ciselées par l'érosion et valons arrondis.


Valladolid, Plaza de Zorilla.
Je profite des lumières du soir pour visiter la ville. Il me faudra encore 4h pour trouver un endroit où dormir.


Forteresse de Coca.
Sur la "Route des Chateaux", Coca est incontournable...mais déserté! J'ai pu rentrer dans la cour du chateau et en faire le tour à vélo...seul.


Illusion d'optique
C'est bien Ségovie qui tente d'émerger d'un champ. En réalité, cette basillique est perchée au sommet d'une haute coline dominant la ville et les environs.


Sauvage.
En marge d'un parc public, le lit est prêt pour la nuit!


Par la petite porte.
Entrée tant attendue dans Tolède. La vieille ville est plongée dans une chape de plomb : même dans les ruelles ombragées, il faut plus de 38°C.



Désert.
Presque personne sur la route, rien autour...Bienvenue dans le désert!


Brulé.
L'après-midi est toujours torride : depuis 10 jours, je n'ai pas vu un seul nuage. Comme les plantations, je brûle sous le soleil ; la seule solution : rouler pour se faire un peu d'air.


Repenti.
130km au compteur lorsque j'arrive à San Clemente. Après à peine une heure, la tension est palpable en ville ; dix minutes plus tard, la police locale insiste pour que je quitte la ville : l'endroit est trop dangereux pour qu'ils puissent assurer ma sécurité pendant la nuit.
C'est presque par hasard que je trouve cet hermitage isolé, havre de paix et de verdure. Après avoir reçu l'accord du maître des lieux, je mécroule dans l'herbe grasse : ouf!


Virages.
Parc national de Chera. Dans un paysage idyllique, j'ai trouvé le "grand huit" le plus impressionnant de ma vie, mais à près de 60km/h, il ne faut pas rater son virage.


Arrivée à Valence.


Major.
Plaza Major de Valencia.


Calé.
Doigts de pied en éventail dans le hamac : c'est bien mieux qu'un transat, et on a aussi vu mer.


Sitges.
Petit paradis touristique : plus facile de trouver sa place avec une carte bancaire qu'avec un vélo.


BCN.
Retour à Barcelone 6 mois après ma première visite. Re-découverte de la ville à vélo et toujours la même fascination pour la Sagrada Familia.


À croquer.
Immanquable Parc Güell, avec la ville en arrière plan. Des maisons en pain d'épice et sucre glace pour uen ville à croquer.


Hasta Luego.
Après une nuit en auberge de jeunesse (mon seul investissement hébergement du voyage), je quitte Bracelone pour la dernière partie de mon voyage : le retour en France.


Discret.
Petite digression à la légalité, ce soir je m'installe dans un parc naturel, camouflé dans la pinède, mais toujours avec vu mer. (Photo prise depuis le hamac)
Demain, la frontière française sera à quelques coups de pédales.


Retour à la case départ.
Nuit au Phare des Onglous : l'année dernière j'étais venu jusqu'ici, accompagné de 13 cyclo-trotteurs qui venaient longer le Canal du Midi. Demain matin je partirai à l'aube pour la dernière étape de mon voyage : une journée marathon de 225km pour rejoindre Marseille 15h plus tard.